mercredi 11 décembre 2013

Nouvelles installations sur le site de l'Ecoparc, réunion CLIS et résultats et interprétation officielle des analyses environnementales en attente

Dernière info :  

La prochaine réunion de la CLIS est finalement prévue le 24/01/2014 à 14 h 30 à la mairie de la Chapelle-Réanville.  Nous aurons alors communication et interprétations des dernières analyses environnementales, celles qui  ont été transmises courant novembre étant totalement caduques.

11/12/2013

La direction de la communication du SETOM nous a récemment informés que les nouvelles installations de traitements de biogaz  et de lixiviats du site d'enfouissement jouxtant l'Ecoparc de Mercey sont enfin opérationnelles.

Concrètement, cela implique - en principe - moins de pollution, moins d'odeurs.
Nous l'espérons.

Rappelons que les "biogaz" sont des gaz toxiques :
 Définition (extrait) :  "Gaz résultant du processus de dégradation biologique des matières organiques   en l’absence d’oxygène. Il contient une forte proportion de méthane (50 %) et possède donc un fort potentiel calorifique et énergétique. Dans nos métiers, il est produit dans les centres de stockage, dans les méthaniseurs et dans les digesteurs de boues de stations d’épuration. Il doit être capté pour éviter les nuisances odeurs et contribution à l’effet de serre."
 Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/definition/biogaz.php4

 Les lixiviats, s'il sont mal traités, peuvent également être hautement toxiques.
 Définition (extrait) : "Lors de leur stockage et sous l’action conjuguée de l’eau de pluie et de la fermentation naturelle, les déchets produisent une fraction liquide appelée « lixiviats ». Riches en matière organique et en éléments traces, ces lixiviats ne peuvent être rejetés directement dans le milieu naturel et doivent être soigneusement collectés et traités."
 Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.actu-environnement.com/ae/dictionnaire_environnement/definition/lixiviat.php4

 Le SETOM nous invite à visiter les nouvelles installations sur le site de Mercey / La Chapelle Réanville.

En ce qui concerne l'organisation d'un réseau de "nez" (voir article précédent sur notre blog), voici les informations fournies par la direction de la communication du SETOM :

                             "-          Il sera organisé trois campagnes de deux mois en 2014. 
-          Il est nécessaire de trouver 15 volontaires 
-          Une formation sera assurée, à la fois pour l’identification des odeurs et pour qualifier leur intensité (6 fois 2 heures de formation réparties sur trois à quatre semaines)
-          Il sera demandé aux volontaires de faire un relevé à heures fixes, éventuellement complété par des relevés ponctuels en fonction d’évènements.
Notre objectif est d’organiser des relevés réguliers aux alentours du site afin d’entreprendre toute action visant l’éradication des nuisances.
Une première réunion pourrait être organisée le 19 ou le 20 de ce mois (18h30 ou 19h00)"

Nous parlerons de cette proposition  lors de notre prochaine réunion.
Mais cette initiative, louable, se met en place un peu tardivement, et au moment où de nouvelles installations sont censées supprimer les mauvaises odeurs.

Nous avons demandé au SETOM d'informer publiquement, via son site web, de la mise en place des nouvelles installations de traitements de gaz et lixiviats : leurs intérêts par rapport à ce qui existait auparavant. (A noter : le site web de l'Ecoparc n'est pas à jour.)
Réponse par mail du SETOM à ce sujet : "Par ailleurs, et concernant les références des nouveaux équipements mis en place à l’Ecoparc, il s'agit d'un  procédé de traitement du biogaz utilisé par l'unité de Ivarem De Lier, Belgique, Delta Nuts, Kruningen aux Pays Bas, Ecopark De Wierde aux Pays Bas."




mardi 3 décembre 2013

Organisation d'un réseau de "nez" pour repérer les odeurs avec le SETOM : 15 volontaires sont recherchés


3/12/2013

Le SETOM veut organiser un réseau de "nez " sur le secteur de l’Ecoparc : objectif, sentir les odeurs... et les noter. On n'en sait pas plus pour l'instant. 

Le SETOM a donc besoin de 15 volontaires environ et nous sollicite pour participer à cette opération de détection d'odeurs.

Sinon, nous attendons toujours la nouvelle date de réunion de la CLIS.