L'exaspération commence à monter

Ce matin, vers 9 h, des odeurs de gaz (H2S sans doute) très fortes, d'un niveau 4/5, ont été ressenties sur la petite route qui va de Mercey à la route du CNPP vers St Marcel, route bordant les champs qui eux-mêmes bordent le site du CET. Les odeurs étaient perceptibles jusqu'à St Vincent des bois... au moins. Nous avons demandé à l'équipe technique une explication logique à cette énième fuite.

Certains se demandent si tout est vraiment maîtrisé sur le site du CET.
Les odeurs et le gaz ne peuvent pas se contenir facilement... évidemment.
Si la superficie du site était moindre, les problèmes le seraient aussi. Nous regrettons tous l'extension massive de ce site qui borde nos communes.

La colère commence à monter... ainsi que le doute quant à la fin réelle des nuisances et la qualité de l'atmosphère + de la terre aux alentours du CET. Quid des récoltes juste à côté ? Le blé ? Le colza ?

Bientôt, des spécialistes épidémiologistes analyseront la situation.
Espérons des résultats rassurant faute de quoi...
Nous laissons en suspens tout ce qui pourrait advenir. Inutile d'être alarmistes.
A suivre...

Echelle de perception des odeurs

Dernières infos : 

- Une nouvelle étude lancée par l'INERIS vient de commencer (points de relevés d'odeurs et analyses).

- Le Dr Spiroux a été "convié" par l'équipe du SETOM pour réaliser le volet épidémiologiste (analyses des résultats d'analyses, préconisations... ? Nous en saurons plus dans les semaines à venir).

- A partir de maintenant, quand vous ressentirez des odeurs, merci de nous le faire savoir en évaluant les odeurs sur une échelle de 1 à 5. 

A suivre.

Quels problèmes pendant les travaux ?

Nous avons demandé à l'équipe technique du SETOM de nous fournir plus d'explications sur les dernières fuites et odeurs en provenance du CET.

Il ne peut pas s'agir de fuites ponctuelles : il y a une autre explication.

Dès que nous aurons les informations précises, nous vous les communiquerons.

Odeurs encore et toujours

 

Nous avons été avertis que durant le week-end dernier, dans la nuit de samedi à dimanche, vers 3 h du matin, "l'odeur était pestilentielle devant l'entrée de la déchetterie sur la route de Mercey. Et malheureusement pour les habitants de La Chapelle-Réanville, les odeurs (niveau 4/5 voir 5/5) se dispersaient en direction des habitations de la Genevray."


L'équipe technique du SETOM a répondu que des vérifications d'une zone "sensible", d'où pourraient provenir les odeurs", sont en cours afin de supprimer l'origine de ces odeurs.

Décidément,  le site du Centre d'enfouissement technique n'en finit pas de laisser échapper des fuites.

Le "parcours de santé" de l'Ecoparc est-il toujours un parcours de santé ?!
Et des animaux sont aussi là-bas...

A SUIVRE de près.

Odeurs suite encore et encore (mais à d'autres endroits)

Ce soir, vers 22 h, devant l'entrée du SETOM (sur la route qui mène à la Chapelle-Réanville, donc non loin du CNPP), des odeurs de gaz très fortes et stagnantes ont été constatées dans cette zone.

Des odeurs de gaz ont également été perçues en contrebas sur Saint-Just (sans que l'on puisse établir avec certitude un lien de cause à effet, mais tout de même, ça sentait le gaz...)

En revanche, pour les habitants de Mercey, ça va mieux en ce moment : il n'y a plus d'odeurs depuis une semaine, et les Mercéens présents au village à cette période de l'été apprécient de pouvoir respirer normalement.

Nous continuons de nous inquiéter très vivement à cause des odeurs perçues tout à l'heure au niveau de l'entrée du SETOM : il faut que ce soit temporaire et définitivement maîtrisé d'ici peu (en ce sens, quelle est la tolérance acceptable de ce "d'ici peu" : 15 jours ? 30 jours ? Il ne pourra pas s'agir de beaucoup plus, faute de quoi on tomberait dans la pollution avérée incompatible avec le bon fonctionnement d'un site d'exploitation tel que "notre" CET qui jouxte plusieurs communes).

L'Ecoparc continue-t-il de "vivre" ?
Il serait intéressant de connaître la fréquentation de l'Ecoparc et le ressenti des personnes parcourant les sentes aux abords du site du CET.



A suivre.