Rappelons qu'officiellement - et le récent article paru dans le Démocrate le souligne également -, le Setom s'engage, suite à la réunion publique du 13 juin dernier à la Chapelle Réanville :
- à un suivi environnemental et sanitaire par le laboratoire Ineris sur plusieurs années et de façon continue et récurrente ;
- à solliciter l'avis d'un épidémiologiste connu sur le suivi des risques sanitaires locaux ;
- à mettre en place une filière spécifique de plâtre sur les installations du SETOM (en fonction de l'espace disponible, nous précise-t-on) ;
- à mettre en place des installations industrielles pour la désulfurisation du biogaz de l'Ecoparc : travaux en cours cet été, d'où les odeurs nauséabondes qui, curieusement, stagnent ça et là, de façon épisodique, quand elles ne surviennent pas en masse...
Mais au moins, les travaux sont en cours, et nous espérons plus que vivement une amélioration tangible de la qualité de l'air au-dessus de nos communes.
A Mercey, aujourd'hui, l'atmosphère a été limite putride... Un mal à supporter pour un mieux.
Patience, patience...
L'alliance des élus, des citoyens et de l'équipe du SETOM dans sa globalité, des techniciens sur le terrain (qui doivent souffrir, en ce moment) aux spécialistes étudiant la question dans les bureaux devrait porter ses fruits. C'est l'objectif visé.