jeudi 25 juillet 2013

Odeurs encore et toujours, où sont les capteurs...

Hier soir, encore,  vers 22 h 30, dans le village de Mercey, des odeurs ont été signalées, différentes de celles perçues jusqu'à présent, se rapprochant plus du gaz méthane que du H2S dans sa perception du moins - odeurs qui proviennent forcément du CET car jamais d'autres sources n'ont été repérées (et il n'y a pas de colza autour du village).

Les odeurs ont été si fortes qu'il a fallu fermer les fenêtres (en plein été, par temps très chaud, c'est idéal ?!)


A Mercey, nous constatons que les odeurs "ne planent pas" de la même façon selon les endroits où l'on se trouve : dans le village, près de la mairie, au bout de la rue de la Mare, près de l'autoroute, le long de la rue de la Ferette, bordée d'arbres...


Nous avons demandé au SETOM où se situent les capteurs d'odeurs dans  Mercey et attendons leur réponse (puisqu'ils effectuent une cartographie des odeurs).

Si le ou les capteurs déjà en place n'ont rien noté hier soir, cela voudrait dire :
- que les odeurs ne s'y trouvaient pas à ce moment-là mais qu'elles se localisaient sur la zone où des habitants les ont perçues (on ne mettrait pas leur parole en doute, quand même ? Quel serait l'intérêt de dire que "ça sent" si ce n'était pas le cas ?)  ;
- qu'il faudra placer un capteur dans le coeur du village, particulièrement affecté ces derniers temps (zone dénuée d'arbres pouvant "freiner" le déplacement du gaz ????)

Notons aussi, encore une fois, que les odeurs sont maintenant perceptibles à St Vincent des Bois.


Cette situation maladorante et ultra désagréable crée un climat des plus désagréables... L'impact sur le bien-être, comme le santé des habitants, est en question. Certaines personnes sont plus sensibles que d'autres, particulièrement en ce moment (maladies au long cours).

Le SETOM nous a assurés, une fois de plus, tout mettre en oeuvre pour arranger la situation : les travaux ont pris du retard, nous a-t-on dit il y a quelques jours.

A suivre...